
Emma est une fille qui galère dans sa vie professionnelle. Une fille en couple avec le gendre idéal. Une fille pourvue de deux colocataires uniques en leur genre.
Une fille qui a ses petits secrets. Des tonnes de petits secrets. Pas des affaires d’état. Mais de quoi se ridiculiser et se montrer sous un autre jour aux personnes qu’elle aime.
Secrets qu’elle déballe en vrac et dans les moindres détails à un inconnu. Son voisin lors d’un voyage en avion pendant lequel elle croit sa dernière heure venue. Un homme qu’elle est persuadée de ne jamais revoir.
Elle se trompe lourdement.
3 raisons d’aimer
- La légèreté. Ce livre est l’opposé d’une prise de tête. Il est typiquement de la chick lit. Dévorable en un week-end. Ou encore un voyage en train traînant en longueur. Pour ces moment où l’on cherche à s’évader dans une bulle teintée de bons sentiments.
- L’humour. Le traitement de l’histoire est bourré d’humour. Les situations cocasses s’accumulent. Certaines sont vraiment à hurler de rire.
- L’héroïne. Un peu gaffeuse. Peu sûre d’elle. Touchante. Hautement sympathique.
3 raisons de bouder
- Vous n’aimez pas la chick lit. Que ce soit par recherche de grande littérature. Par goût de prise de tête. Ou encore par rejet des histoires toutes roses. Ca arrive même à des gens biens einh. Surtout les hommes d’ailleurs.
- Vous n’avez aucun petit secret pour personne. D’une franchise poussée à l’extrême, vous racontez tout à tout le monde sans aucune retenue, sans aucune diplomatie. Sans aucun ami certainement non plus. Il sera pas facile de saisir les petits secrets d’Emma.
- Vous l’avez déjà lu. Quoique cela ne m’a pas empêché de me replonger dedans. Il m’a été offert pour mon anniversaire. Je me suis remémoré ma précédente lecture à peu près au tiers du livre.
En bref ? Un livre des plus divertissants sans prise de tête. Une lecture idéale pour les vacances. Sur le sable, dans un transat ou sous la couette (il fait tellement peu beau l’été qu’on peut envisager la couette !)
La première phrase ? « Bien sûr que j’ai des secrets. C’est évident. Tout le monde en a. C’est ultranormal. D’ailleurs, je n’en ai sûrement pas plus que les copines. »
La dernière phrase ? « Tout le monde le sait, non ? »
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