
Annie, tout juste diplômée, ne sait pas trop ce qu’elle souhaite faire de sa vie. Ni qui elle est d’ailleurs.
En plein questionnent et au hasard d’une rencontre, elle décide de travailler comme nanny chez une famille aisée de Manhattan. Elle pensait ce que ce sera un job facile. Se trompant lourdement.
Une mère névrosée. Un père obsédé de travail absent. Leur fils délaissé se laisse peu à peu apprivoiser par sa nanny…
L’histoire du film est tirée d’un roman de Emma McLaughlin et Nicola Kraus.
3 raisons d’aimer
En plein questionnent et au hasard d’une rencontre, elle décide de travailler comme nanny chez une famille aisée de Manhattan. Elle pensait ce que ce sera un job facile. Se trompant lourdement.
Une mère névrosée. Un père obsédé de travail absent. Leur fils délaissé se laisse peu à peu apprivoiser par sa nanny…
L’histoire du film est tirée d’un roman de Emma McLaughlin et Nicola Kraus.
3 raisons d’aimer
- La peinture d’une tribu : les habitants de l’Upper East Side. Croqués à la façon d’une étude ethnographique. De la caricature, peut-être. Mais pourtant, pas très éloignée de la réalité pourtant (les co-auteurs et la co-réalisatrice ont été elles-mêmes nannies)
- Scarlett Johansson que j’admire dans chacun de ses films. Sa plastique forcément. Son jeu toujours. Le petit acteur jouant Grayer est adorable. A noter, également, la présence d’Alicia Keys, dans un petit rôle. Loin d’être déterminant dans l’histoire.
- Les clins d’œil à Mary Poppins. Très mignons, même s’ils sont faciles.
3 raisons de bouder
- Le côté trop sérieux dans le traitement. Je pensais rire de certaines situations. L’accent a été mis sur la volonté d’émouvoir. Le rendu finit par être un peu lisse.
- J’aurai apprécié un peu plus de profondeur dans le personnage d’Annie. Je ne sais pas. Peut-être qu’elle soit un peu moins parfaite, en fait.
- Par obligation. Le film n’est à l’affiche que de peu de cinémas à Paris. Etonnant d’ailleurs, au vu du peu de sorties actuellement.
En bref ? Un film très relativement moyen mais avec quelques éclairs poétiques et une description d’une partie de la société new-yorkaise.
Une réplique ? "Un enfant n’est pas un accessoire commandé sur catalogue."
* Ou Le Journal d’une baby-sitter. Mais je n’aime pas cette traduction française. Une nanny est un job différent de celui d’une baby-sitter. Les nannies, ce sont ces femmes qui élèvent les enfants des autres. Des autres très riches et occupés à un tas de choses autres que leur progéniture.
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